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Quand un groupe de rock se cache au coeur d'un lycée...
 
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 Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew]

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Ivy Spencer
Administratice - Chanteuse des Rock 'n' Love
Ivy Spencer


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MessageSujet: Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew]   Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew] Icon_minitimeDim 11 Nov - 1:43

Ploc
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L’eau tombait à petite goûte du robinet de la salle de bain. Une jeune fille au regard azur vide observait l’air absent cette manifestation de la gravité et du manque de temps des plombiers de l’école. Cette fuite datait d’au moins 3 mois mais personne n’était encore venue voir. Ivy était captivée par ces petites perles bleues qui s’éclataient contre le rebord du lavabo. En fait son regard, bien que posé dessus, dépassait largement cette futilité. Elle rêvait, des paysages psychédéliques défilaient dans la tête. Une légère fumée opaque s’élevait d’un cendrier près du coude de la chanteuse. Elle était assise sur un tabouret, les coudes posés sur les bords en émail et le cendrier reposait près du porte-savon vide. Cela ne lui arrivait pas souvent de fumer des substances… illicites, mais quand elle était très tendue et stressée elle allait voir le petit dealer du lycée. C’est ce qu’elle avait fait la vieille, contre une vingtaine de livres il lui avait fournit de quoi rouler deux joints. Elle en avait fumé un hier le soir avant de dormir pour aider à l’endormissement puis un autre ce matin et il l’avait mis dans cet état. Ses amis n’aimait pas quand elle faisait ça mais la dernière séance de dédicace l’avait tellement mise sur les nerfs qu’elle n’arrivait plus à se détendre. Et voila Ivy partit au jolie pays rose des rêves.

Un léger picotement dans la cuisse la tira de son voyage coloré. Son jean vibrait, enfin pour être plus précis s’était son portable dans la poche droite de son jean qui s’était éveillé. La jeune fille se redressa, décrochant son regard de la fuite avec regret. Elle plongea sa main aux ongles vernis en noir dans sa poche et sortit un portable rouge. L’écran du clapet affichait le nom de Heaven avec une petite photo où on distinguait difficilement une fille souriante. Ivy soupira et ouvrit finalement l’appareil électronique qui continuait à vibrer furieusement.


“ Oui ? ”
“…”
“Mais oui ça va très bien”
“…”
“Mais non j’en ai juste fumé un… Allez ne t’en fait pas. Jte laisse j’ai des truc à faire”


Ivy referma le portable et soupira de nouveaux. Heaven se faisait toujours du souci quand elle faisait ça. Dès le ton de sa voix elle avait repéré que sa meilleure amie avait fait une connerie, qu’elle avait touchée à un produit plus qu’interdit par le lycée ! Enfin ça ne lui arrivait presque jamais, Heaven n’allait pas mourir parce qu’elle faisait ça ! Elle jeta son portable sur son lit d’un air grognon avant de s’y jeter elle–même sur le ventre. Elle éteignit sa chaîne hi fi qui diffusait le CD « The Birthday Massacre » en boucle depuis deux heures et se releva. La jeune fille avait envie de sortir, l’atmosphère embrumée de sa chambre la rendait malade maintenant qu’elle n’était plus dans son monde de couleurs et de dessins fantastiques. Comme elle ne portait qu’un shorty noir et un débardeur assortit en lycra, elle sauta vers sa penderie. Après avoir farfouillé dans le meubles quelques instant elle en sortit fièrement ses habit préféré. Ainsi elle enfila son T-shirt Superman, son slim noir et ses convers bleue Superman assortie au T-shirt. Elle se sentait à l’aise dans ses baskets, habillée comme ça.

Ivy hésita un instant devant la porte de sa chambre, où allait-elle aller ? Elle pris son portable qu’elle avait oublié sur son lit et son sac Hello Kitty puis sortie dans le couloir. Elle aurait tout le temps de choisir sa destination plus tard. Au passage elle salua quelques amis ou connaissances puis sortie du lycée pour traverser le par cet enfin arriver dans le centre ville de Londres.

Il y avait une foule monstre, c’était l’heure de pointe et les rues étaient envahies par les Work Women ou Men. La jeune chanteuse ne tenait pas spécialement à prendre un bain parmi les employé de la capitale Anglaise, elle entra donc dans le premier Starbuck qu’elle vit. Il était remplit à en craquer, ce n’était sûrement pas là qu’elle pourrait se poser calmement. Elle commanda quand même un « Chocolat Chaud » comme on disait en France, avec de la crème moussante et du sucre vanillé. Ce café était sa passion, elle y allait au moins une fois par semaine boire une boisson chaude seule ou en compagnie d’amie. Elle s’empara donc du gobelet en carton fumant que lui tendait la serveuse et repartie dans la rue.

Après un rapide parcours de slalom entre les hommes et femmes vêtus de costume noir, elle atterrit dans une rue bondée de touriste cette fois. Devant elle se dressait un imposant bâtiment de pierre ancienne. Le British Museum dans toute sa splendeur trônait au milieu d’une pelouse parfaitement entretenue. Ivy jeta son gobelet désormais vide dans une poubelle et gravit les escaliers jusqu’à l’entrée. Au lieu de passer par l’entrée réservé au touriste basique elle emprunta la voix « abonné » et montra sa carte au vigil de l’entrée puis lui dona son sac pour qu’il passe au rayon X. Elle venait très souvent dans le musée, appréciant son clame et la présence des marques du passé cohabitant avec les espoirs du présent et du futur.

Sans réfléchir la jeune fille flâna dans les grandes allées des galeries contemporaines. Elle descendit un étage et se retrouva parmi des statues grecques représentant chacune des divinités différentes. Au mur on pouvait observer la frise se trouvant habituellement au Parthénon. Elle passa dans la salle suivante où une grande statue d’Aphrodite occupait toute la place. Son fils, Cupidon, était à ses pieds et levait les yeux d’un regard adorateur. Ivy s’installa sur la banc pile en face de l’œuvre antique et resta là à l’observer avec intérêt. Ce n’était pas du tout la même contemplation du robinet en début de journée. Elle était stone et à l’ouest. A ce moment précis elle observait chaque détail de la pierre, chaque cavité, chaque trait de la déesse et de son serviteur. Elle observait la façon dont le sculpteur avait réussi à faire transparaître une expression dans ces yeux dépourvu de pupille et donc d’expression. Bref elle était tellement absorbait qu’elle n’entendit pas les pas résonnants dans les salles d’expositions s’approcher.
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MessageSujet: Re: Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew]   Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew] Icon_minitimeLun 12 Nov - 22:44

10h… Matthew ouvrit les yeux, papillonnant des paupières quelques instants. D’abord flou, le plafond se dessina de plus en plus nettement, tandis que ses esprits se remettaient doucement en place dans sa tête et qu’il percutait avec une lenteur affligeante où il se trouvait. Sa main droite sentit du tissu sous sa paume, il était donc probablement entre des draps. Le plafond bleu-vert était le caractéristique de sa chambre, reconnaissable aux quelques câbles qui passaient dans le coin des murs et à sa hauteur conséquente. Recouvert à demi d’une couverture claire, il poussa un léger soupir, fermant les yeux un moment. Il se serait presque laissé glissé dans le sommeil si quelqu’un n’avait pas ouvert la porte de l’endroit discrètement, le forçant à sortir de ses songes. Se redressant paresseusement, Matt reconnu le visage de sa grand-mère dans l’encadrement, laquelle lui adressa un doux sourire. Le temps qu’il se passe une main sur le visage, elle avait déjà commencée à parler :

- Debout mon grand, il est déjà 10 heures, et ton grand-père souhaite que tu passes au musée pour ton devoir… Ton amie peut rester ici si elle le souhaite en attendant, tu sais qu’elle est la bienvenue. J’en fait des pancake et du sirop d’érable vient d’être livré en provenance du Canada, Je pense que ça lui fera plaisir. N’oublies pas que Dona viens cet après-midi, alors dépêches-toi ! –

Le temps d’enregistrer toutes les informations, Matt finit par lui sourire, en hochant la tête. Comprit… Sa grand-mère referma doucement la porte et il put enfin se tourner vers le côté gauche de son lit. Une épaule s’y trouvait, nue de tout vêtements, suivie d’une nuque claire et de longs cheveux blonds. Matthew se pencha en avant, déposa un doux baiser sur l’épaule d’Emma, avant de caresser quelques instants sa peau toute douce. Il n’avait vraiment pas envie de la quitter si tôt… Surtout après la nuit qu’ils avaient passés ensemble. Mais bon, si partir maintenant signifiait revenir plus vite auprès d’elle, il avait intérêt à se dépêcher. Sortant à regret du lit, il attrapa dans son armoire un caleçon et l’enfila. Qu’est-ce qu’il pouvait bien mettre ensuite ? Matt n’en avait aucune idée, et à vrai dire, il s’en fichait pas mal. Avisant une chemise sur le sol, il l’attrapa, l’observa quelques instants, avant de l’enfiler. C’était la chemise que portait la demoiselle la veille, avant qu’il ne lui l’enlève. Un de ses tics que de prendre les affaires de son petit ami. Au moins, elle avait toujours l’odeur de sa douce et ainsi, Matt se dit qu’il pourrait plus aisément supporter de s’en séparer alors que le week-end débutait. Le jeune homme ne prit même pas la peine de la boutonner pour le moment, cherchant un quelconque jean à enfiler, finissant par en trouver un soigneusement plié sur une chaise, en compagnie de linges propres.

S’en allant déposer un baiser sur les lèvres de la guitariste, il sortit de la pièce sans la réveiller, lui jetant un dernier regard. Il était de plus en plus fréquent que la demoiselle se retrouve chez lui, ou lui chez elle, et aucun des deux n’allaient s’en plaindre de sitôt. Remontant à la cuisine, il déposa une bise sur la joue de sa grand-mère, attrapa un fruit dans la corbeille, puis fila enfiler ses converses, agrippant vite fait son portefeuille, et descendit dans la rue. L’air frais de Londres lui sauta au visage à peine eut-il mit le nez dehors. Descendant les quatre marches qui menaient habituellement à la porte d’entrée, il se lança d’un pas légèrement pressé sur le trottoir tout en terminant de boutonner sa chemise décemment. Il aurait put la laisser à demi ouverte, mais Matthew n’était pas le genre d’homme à le faire. Bien au contraire… Le jeune homme vérifia au passage le contenu de son porte-feuille : quelques Livres Sterling, sa carte d’identité, diverses autres cartes d’étudiants ou de cinéma. Ouais, ça faisait longtemps qu’il l’avait pas mit à jour ce truc. Et où était sa carte bleue ? Ayant sa petite idée sur la question, il se promit de faire parler Donathan dès qu’il mettrait les pieds dans la maison.

Sa montre lui indiquait 10 heures 12. Shit, il allait devoir supporter la foule de touristes du week-end et les divers habitants ou travailleurs qui sortaient dans la rue pour rejoindre il ne savait quel café. Donc, pas question d’essayer de prendre un taxi pour rejoindre le British Museum, il allait devoir rejoindre l’endroit à pieds, au milieu de la foule, l’entrée du métro était trop loin. Jurant entre ses dents, il s’engagea pour tenter de rejoindre le plus vite possible le musée. Quelle idée de leur filer encore des devoirs à rendre alors qu’ils avaient 17 ans. Et sur les dieux romains je vous pries ! Non mais quel ennui. Et quelle foule ! Des minettes en mini-jupe qui riaient fort, des vendeurs de hot-dog ou de glaces, quelques groupes de jeunes qui traversaient l’allée sans se soucier des autres, des femmes d’affaires avec leurs acolytes, des couples qui faisaient des boutiques, des quadragénaires plongées dans des discussions portant sur le monde, leurs chiens tenus en laisse, et bien sûr, les habituels touristes japonais avec leurs appareils photo rivés sur l’œil. On pouvait pas faire deux mètres sans en trouver ! Matthew fut même arrêté par un groupe de japonaises d’a peu près son âge pour qu’il les prenne toutes en photo à quelques mètre du British Museum, sur la pelouse du bâtiment. Lui qui était d’humeur à refuser s’ exécuta pourtant, et finit sur plusieurs photos au passage, les jeunes femmes lui expliquant en anglais qu’elles avaient toujours voulus pouvoir poser avec un vrai londonien et très mignon. Il récupéra un ou deux numéro de téléphone, qu’il fourra dans sa poche sans même les lire. 10h45, déjà !

Ce ne fut qu’à l’entrée qu’il se rendit compte qu’il avait oublié sa carte d’abonné. Son grand-père ayant longuement travaillé ici comme conservateur, il avait trouvé normal d’initier son petit-fils aux bien fait d’un tel endroit et venait encore aujourd’hui, après sa retraite, traiter les affaires du musée avec le plus grand respect. On connaissait Matthew ici… Sauf qu’il tomba sur un vigil particulièrement borné, et nouveau par-dessus le marché, qui refusa de le laisser passer dans la file des abonnés. C’était pas son jour ou quoi ?! Le jeune homme, fort déçu et agacé de perdre encore du temps, s’apprêtait à rebrousser chemin vers les caisses lorsque son grand-père apparu. L’homme de haute taille lui fit une accolade joyeuse et se mit à lui parler amicalement. Matthew expliqua rapidement qu’il avait omis sa carte et ce fut mister Ford qui l’entraîna avec lui, indiquant bien au gardien que ce garçon était son petit-fils. C’est ainsi que notre jeune homme se retrouva à l’intérieur de l’immense musée. Devoir de meeeeeerdeuh…

Son grand-père l’abandonna, lui indiquant que s’il avait besoin de lui, il ne devait pas se déranger. Sans vraiment faire attention aux salles qu’il traversaient, Matthew passa devant de longues allées de tableaux, des statues magnifiques, des œuvres exposées, des inventions exposées et bien d’autres choses encore. S’engageant dans un long escalier de marbre, il descendit d’un étage, vers l’exposition romaine. La première salle était bordée d’immenses statues de marbres, et au mur, une longue frise en provenance d’Italie. Etrangement, cette partie du musée n’était pas encore très bondée, voir même pas du tout. Les touristes avec leur guide ne devaient en être qu’au début du tour. Tant mieux… Il pourrait retenir les informations qui l’intéressaient. S’approchant d’un extrait gravé en latin, il avisa quelques documents en libre service et en prit un, le feuilletant distraitement. Maintenant qu’il était là, qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir faire ? C’était bien beau de venir au musée pour un devoir, mais il n’avait même pas de quoi écrire. Malin… vraiment malin, chapeau Matthew !

Ses pas le guidèrent vers les salles suivantes. Dans l’une d’elle trônait une magnifique statut de la déesse Aphrodite, accompagnée de son petit acolyte Cupidon. Matt se stoppa à l’entrée, regardant la déesse d’un œil curieux. Qu’est-ce qui avait bien put attirer les hommes de l’époque chez cette dame ? Etaient-ce ses courbes sveltes sous sa toge courte ? Sa longue chevelure décorée de fleurs et parsemées de rubans ? La forme de son visage, si doux sous le marmbre dur ? Allez savoir… Il se surpris à lui trouver un air de ressemblance avec Emma ! Peut-être le visage, ou quelque chose dans le sourire de la statue qui lui rappelait la jeune femme. Mais ce n’était qu’une illusion d’optique : le marbre avait bien plus de deux mille ans, c’était stupide de penser une telle chose. Pourtant, le jeune homme dut reconnaître que le sculpteur était doué, très doué… et il comprit. Oui, ça lui apparu soudain comme une évidence. Comme quoi, les idées viennent n’importe où x) Si les hommes de l’époque aimaient ou glorifiaient la déesse et ses représentations, c’est parce qu’elle avait en elle quelque chose qui faisait toujours penser à la femme qui les attirait : que ce soit son corps, la manière de se tenure, sa coiffure, son regard, l’esquisse de sa bouche, ou autre chose. Un secret parmi tant d’autres que celui des statuts. Finalement, le sujet se révélait bien plus intéressant… Matthew se demanda sur le coup, pourquoi il venait de se dire ça, pourquoi est-ce que cela lui apparaissait comme une évidence. Lui qui n’était pas un fana du tout de civilisation, voilà qu’il se mettait presque à chercher des réponses a des questions qu’il n’avait pas souvenir de s’être posé. Vraiment, c’était pas son jour aujourd’hui… xD

Faisant quelques pas autour de la statut, il aperçut une personne installée sur l’un des bancs, seule. Qu’elle ne fut pas sa surprise lorsque, ramenant ses esprits sur Terre, il reconnu Ivy. Enfin, la première fois, il se dit que ce n’était pas la jeune femme, après tout, qu’est-ce qu’elle ferait ici ? Mais en y regardant mieux… Ces boucles claires, ce visage, ce sac et ces converses… On aurait vraiment dit l’une des deux chanteuses du groupe le plus en vogue du moment. Seul son regard changeait et le troubla légèrement. Il avait l’air vide et quelque peu perdu. Elle était malade ? Oo… Fort surpris de la trouver là, il s’avança dans sa direction, histoire de s’assurer qu’elle allait bien. Se penchant vers elle, il lui tapota l’épaule en demandant d’une voix calme :


- Ivy ? Tout va bien ? –

Il se rendit compte, un peu tard, que d’adresser la parole à la demoiselle allait lui prendre quelque peu le temps qu’il s’était imposé pour venir ici. Erf, mais Emma l’aurait sans doute trucidé si jamais elle apprenait qu’il avait croisé la demoiselle sans lui adresser la parole, alors qu’elle avait peut-être un problème. Oh, Matthew n’espérait pas spécialement qu’elle ai quelque chose, ça aurait été même mieux qu’elle n’ai rien, mais bon. Il ne parlait pas spécialement souvent à Ivy, de temps à autre comme cela, et ils n’avaient pas spécialement beaucoup de choses à partager lol. Mais bon, cela ne l’empêcher pas de lui parler amicalement… =)


[désolé d’avoir induit le truc du grand-père, j’avais pas d’idée pour le faire entrer au musée et lui trouver une raison valable d’y rester x) … Tout comme le fait que ce soit le début du week-end. Si tu veux que je change un truc, dit-le, j’éditerais ^^ lol]
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MessageSujet: Re: Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew]   Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew] Icon_minitimeMar 20 Nov - 23:25

La toge de marbre tombait magnifiquement sur la hanche nue d’Aphrodite. Une main posée sur son ventre rond, retenant d’un doigt l’étoffe, elle avait tout d’une déesse. Si les modèle de beauté du XXIème siècle ressemblait à ça, Ivy aurait tous les hommes à ses pieds. Malheureusement ses formes ne l’aidaient pas trop. Cela devait faire 15 minutes, 20 tout au plus qu’elle contemplait la statue, mais elle avait l’impression qu’elle avait toujours été là : assise sur un banc dur, le dos droit, les yeux dans la vague mais observant quand même l’œuvre d’art. La jeune fille, complètement perdue dans ses pensés, ne vit pas un jeune homme rentrer dans la pièce, faire le tour de la statue puis la fixer un moment. Elle ne se rendit compte de sa présence que quand il lui toucha l’épaule. Le contact extérieur la fit sursauter. Elle avait l’impression de sortir d’une apnée dans la piscine, quand on s’amuse a rester sous l’eau jusqu’à la limite de perdre conscience. Quand vous sortez de l’eau l’ai rentre dans vos poumons avec une telle force qu’elle vous brûle. Elle eu un peu la même impression, son corps retrouvait l’oxygène pour la première fois depuis longtemps.

« Ivy ? Tout vas bien ? »


Les neurones se connectaient petit à petit. On venait de la toucher, de lui parler, de l’appeler par son nom. Le garçon la connaissait donc. Elle fouillât dans sa mémoire embrumée pour retrouver son visage parmi ses souvenirs. Des cheveux clairs, aux reflets dorés, des yeux ressemblant à deux pommes vertes… Réfléchi Ivy, réfléchi. Dans un éclair de lucidité elle se souvint de lui, Matthew Ford l’actuel petit ami d’Emma. Comment avait-elle pu oublier ce garçon dont son amie lui parlait à longueur de journée. Matt par là, Darling par ci… Encore un mois et la chanteuse connaîtrai la vie du jeune homme par cœur ! Pourtant elle ne lui avait presque jamais parlé, un petit bonjour de temps en temps, quand elle le croisait ou qu’il squattait la chambre du groupe avec Emma pour leurs « moments d’intimités ». Enfin ce n’était pas pour ça qu’elle éprouvait de l’animosité pour lui, en fait elle n’avait pas d’idée, Ivy n’aimait pas juger les gens sans les connaître avant, et encore tout le monde réserve des surprise même après des années de fréquentation. Le souvenir de Prudence lui traversa l’esprit mais elle le rejeta tout de suite et ce tourna vers Matthew. Sa petite réflexion n’avait durée que quelques secondes.

« Euh salut Matthew. Oui ça va très bien pourquoi ? Et toi la forme ? »


C’était un début de conversation banal, sans aucune surprise, mais elle ne voyait pas trop quoi dire d’autres. Heaven s’en était rendu compte au téléphone, et maintenant quelqu’un qu’elle connaissait à peine, avait-elle aussi mauvaise mine que ça ? Pourtant s’était bon, elle n’était plus stone, juste un peu perdue dans ses pensés. On ne pouvait pas se détendre dans ce pays ??? Enfin bon, il était vraie que sa petite « folie » (XD) de la matinée lui avait donné un teint affreux !
Ivy passa la main dans ses cheveux blonds soyeux, pour essayer de leur donner une forme plus normale au lieu de les laisser tomber n’importe comment sur ses épaules. Mais son geste ne fit qu’empirer les choses, elle reposa donc sa main sur ses genoux, poussa un petit soupire et adresse un léger soupire au garçon en lui faisant signe de s’asseoir à côté d’elle.


« Tu peux t’asseoir, j’ai jamais mangé personne… Qu’est ce qui t’amène dans ce lieu de repos et de réflexion ? »


HJ : Désolé c’est court et nul, j’ai pas d’inspi ces temps ci T_T
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MessageSujet: Re: Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew]   Aphrodite ou comment se dégriser... [pv Matthew] Icon_minitime

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